Le magazine Jafec, que j’ai toujours lu et apprécié, reste et demeure un organe spécialisé autant qu’il constitue une vitrine de promotion pour la femme active et proactive et un espace de valorisation de la parité et de l’équité du genre.
La femme est à la société de consommation ce que l’armure est au chevalier, c’est-à-dire l’épicentre et l’épigone du déclenchement de toute action inductrice de développement et porteuse de sens. Et lorsqu’elle déploie son génie sur la scène artistique, théâtrale, technico-commerciale ou économique, elle porte le texte, le testament et le témoignage de ses actions et de ses réalisations spectaculaires qui s’imposent et qui imposent le respect et l’admiration.
Jeanine FANKAM est une femme d’audace. Ses atouts scientifiques et professionnels n’occultent pas l’option sur le marché de la presse et de la communication des produits de médias.
Cet organe appelé à devenir une institution de référence et d’influence porte la voix des femmes sur la scène publique autant qu’elle leur donne l’occasion et l’opportunité de se faire connaître et de labelliser ce savoir-faire, ce « know-how », pour emprunter à cet anglicisme de saison et de raison.
L’initiative et l’impulsion de Jeanine FANKAM séduisent. Cette journaliste de talent, jusque-là connue pour la qualité de ses reportages et ses commentaires, a troqué la plume de reporter pour celle de manager d’un organe de presse. Entre autres événements à succès qui portent sa marque, on se souvient qu’en 2014, elle a organisé à Yaoundé une conférence internationale sur la crise socio-politique en RCA, avec la participation de Reporters sans frontières, CFI, de nombreux médias internationaux et des ONG de renom.
Mme Nkosazana Dlamini-Zuma, alors présidente de l’Union africaine, a été invitée d’une conférence de presse spéciale à Yaoundé sur l’initiative de Jeanine FANKAM. Avec Jafec mag, on attend encore davantage.